Tableau réalisé juste avant l’écriture de ‘La femme à la valise’, et dans le même mouvement de vie.
C’est un travail spontané, d’énergie sans contrôle et qui m’a effrayée lorsque je l’ai VU. J’avais le souvenir prêt à surgir, c’était clair. Le tableau restait en ébauche jusqu’à ce que l’équilibre advint lorsque, aidée d’un fusain j’ai barré le visage… C’est cette peinture que j’ai détruite, saccagée moi-même, lors d’un grand mouvement de panique et de violence dirigé contre moi.
Ce travail parle pour moi de l’identité et l’expression. »
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